
Elle était célibataire au moment du diagnostic.
Et depuis… plus rien.
Plus de relation.
Plus d’espoir d’être aimée, touchée.
Quel dommage qu'un accompagnement en sexologie n’ait pas été possible plus tôt!
Un sein en moins, une cicatrice, une zone devenue douloureuse ou insensible...
Cela ferait d'elle une femme moins aimable ?
Au sens littéral : pas digne d’amour?
Non. Mille fois non.
La pénétration serait-elle obligatoire pendant l’acte sexuel ?
La société nous fait croire bien des choses !
Beaucoup d’hommes apprécient aussi les "positions de contact", le sexe sans pénétration.
Sortir des sentiers battus quand le vagin fait mal nécessite imagination, expérimentation… et humour 😄
Et quel enrichissement de la sexualité !
⇾ Masser une cicatrice pour qu’elle ne soit plus douloureuse
⇾ La sublimer avec un tatouage ou un bijou
⇾ Proposer qu’il ou elle la touche… ou au contraire, la couvrir de beaux dessous
⇾ Suivre son rythme, ses propres envies
⇾ Lorsque le vagin fait mal après une chimiothérapie, il existe des solutions (consultation en gynécologie, sexologie, radiofréquence vaginale, photobiomodulation..)
Par pudeur.
Par peur.
Par croyance.
🙌 Cette femme a tout pour vivre une intimité pleine, vivante, joyeuse.
La sexologie a guidé ce chemin.
Et .... mon livre 📗 "En quête du désir perdu", aussi.
Le tatouage a été réalisé par l'artiste Marta Madrigal (La petite histoire Tattoos, Toulouse) et la photo lui appartient avec l’accord de sa cliente. Merci à elles!!
Un magnifique exemple de féminité retrouvée ✨